Grèves et manifestations

Une du journal l'Humanité du 17 novembre 2020

Ce mardi 17 novembre 2020, Place de Beaune à Chalon sur Saône, un rassemblement était co-organisé par le syndicat Solidaire 71, le CNNR71 et la section chalonnaise de la Ligue des Droits de l'homme. Ces organisations appelaient à manifester notre opposition à la proposition de loi liberticide « Sécurité Globale». Ce rassemblement  légal (article 3 du décret n° 2020-1310 du 29 octobre 2020) avait été déclaré officiellement à la préfecture. Il était soumis à l'application des gestes barrières (port du masque, distanciation physique).

Entre 200 et 250 personnes ont répondu présentes.  Un succès compte-tenu du contexte et des délais de mobilisation très courts. La section PCF du Grand Chalon avait appelé ses adhérents à se joindre à cette action.

#PasDeMedailleEnChocolat hôpital de Chalon sur Saône

Samedi 13 juin 2020, devant l'hôpital public de Chalon sur Saône, une action de solidarité avec le personnel de santé avait lieu pour demander une augmentation des salaires eu égard à l'importance de leur action pour la société.

Cette action sera reconduite le 4 juillet 2020, 14h30, devant CARREFOUR SUD, pour soutenir les caissières, les magasiniers et tous ces premiers de corvée qui ont bossé pendant le confinement, en demandant 20% d'augmentation du SMIC.

Un mur de message a été construit.

Cette action initiée par le Parti Communiste du Grand Chalon, avait reçu le soutien des syndicats CGT des hôpitaux de Sevrey et de Chalon, des gilets Jaunes 71, de la Ligue des Droits de l'Homme et d'Europe Écologie les Verts.

Initiative PCF Justice sociale Carrefour Sud Chalon sur Saône

Samedi 4 juillet après-midi, la section PCF du Grand Chalon organisait une initiative pour demander plus de justice sociale pour tous ces soit disant "Petits Métiers" qui se sont en réalité révélés les plus indispensables pendant le confinement.

Les communistes du Chalonnais épaulés par les jeunes de l'union des communistes libertaires distribuaient aux clients du magasin, un flyer à remettre à leur caissièr(e), en remerciement de sa présence au travail pendant le confinement, pour les risques encourus, mais surtout en demandant que son travail soit revalorisé par une augmentation du SMIC de 20%.

Dans les soutiens présents on relevait également des Gilets Jaunes et des membres de la LDH.

Cette action s'adressait symboliquement aux caissières de Carrefour, mais en réalité la demande concerne la revalorisation du SMIC pour tous les salarié(e)s en France et au delà aux travailleurs dont les grilles de rémunération sont indexées sur le SMIC.

médaille en chocolat

Pas de médailles en chocolat pour premiers de corvée et les infirmières
SignerAppelAugmentation du budget de la santé et des salaires !

Construction d'un Mur de messages de soutien aux premiers de corvée:

  • Le 13 juin 2020 de 14h30 à 17h30 à l'Hôpital public de Chalon
  • Le 4 juillet 2020 de 14h30 à 17h30 devant Carrefour Sud

orga9juin

caissière pas de médaille en chocolat

Le déconfinement ne doit pas nous faire oublier tous ces salariés qui n'ont pas été confinés et qui ont fait tourner les services essentiels au pays : les caissières, les agents d'entretien, les éboueurs, les postiers, les livreurs...

Tous ces soit disant "petits métiers", rémunérés au SMIC et qui se sont révélés les plus indispensables à la France. Il est urgent de les revaloriser par une augmentation de 20% du SMIC.

Le 4 juillet, dès 14h30 devant Carrefour Sud, en remerciements aux personnels de cette grande surface, portons cette exigence.

Refusons le retour à l’anormal !

La crise actuelle va plonger notre pays et le monde dans un état très préoccupant. La crise sanitaire va amplifier la crise sociale, démocratique, économique et écologique.
Nous nous rendons compte que le système actuel ne permet pas de satisfaire les besoins élémentaires des populations, met en péril les systèmes sociaux et écologiques, et même qu’il amplifie la crise par son obsession du profit à tout prix.
En France les politiques successives ont affaibli les services publics . Aujourd’hui nos concitoyens en perçoivent mieux les conséquences.